Le coût du projet s'élève à 1,6 milliards d'euros. Il constitue la première phase de la réalisation de la ligne à grande vitesse mixte (fret et grande vitesse) entre Nîmes et Perpignan. L'événement est historique, après des années de tergiversation, et un très long tour de table, au terme duquel Nîmes n'a accepté de participer qu'après avoir obtenu l'engagement ferme d'une future gare à Manduel. Seul le conseil général de l'Hérault maintient son opposition au financement. La région assurera l'essentiel (71%) de la part des collectivités territoriales. La majeure partie du financement reste quand même à la charge de l'Etat et de Réseau ferré de France (plus d'un milliard d'euros à eux deux). Prochaine étape : le 18 décembre, Réseau ferré de France lancera la consultation auprès des 3 entreprises ayant soumissionné au contrat de partenariat public-privé : Bouygues TP, Vinci et Eiffage. Selon la préfecture, le chantier permettra la création de 30 000 emplois sur sa durée.
TGV Nîmes-Montpellier : le financement enfin bouclé
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