Astrid : c'est le prénom retenu pour ce prototype de réacteur, mis au point par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA).
Cette technologie, dite de 4e génération, permettrait de ralentir la consommation en uranium, dont les réserves frôleraient le déficit en 2070.
Le combustible pourrait être recyclé plusieurs fois, et autoriserait la production de « 50 à 100 fois plus d'électricité », selon le directeur de l'énergie nucléaire, Christophe Béhar.
Selon nos confrères de Midi Libre (qui ont révélé l'info), les travaux pour installer Astrid à Marcoule devraient commencer en 2017, pour une mise en route espérée en 2020.
Conçu avant tout dans un but de recherche, Astrid préfigurera le futur réacteur commercial que la France lancera vers 2040.
Marcoule inaugurera le nucléaire de 4e génération
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