À terme, une centaine de chercheurs y travailleront sur l'énergie, l'environnement ou la santé. Savoir séparer des molécules efficacement, dessaler ou rendre potable des eaux saumâtres, augmenter la durée de vie des piles à combustible, purifier de l'hydrogène... voici quelques exemples des techniques, dites « membranaires », qu'ils utiliseront. Les perspectives d'avenir sont exponentielles. C'est pourquoi les unités de recherche qui travaillaient dans ce domaine voient leur bâtiment s'agrandir de 1 000m2 avec la pose de la première pierre de l'Institut européen des membranes, où cohabiteront l'École nationale supérieure de chimie de Montpellier, l'Université Montpellier 2 et le CNRS. À la fin de l'année, ce sera l'un des laboratoires les plus importants en Europe. Le montant des travaux s'élève à hauteur de 3M€, financés par l'État (CNRS ), la Région, l'UM2 et AREVA.
Un pôle chimie commence à prendre forme
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