Pour les clubs de rugby, le manque à gagner pourrait représenter entre 500 000 et 700 000 €. Le droit à l'image collective permet d'économiser 30 % sur les charges sociales des joueurs les mieux payés, au-dessus de la barre des 66 000 euros par an, soit la majorité des joueurs sous contrats pro à Perpignan et à Montpellier. Si la mesure est adoptée par le Sénat avant le 31 décembre prochain, elle devrait s'appliquer sur le budget de cette saison 2009-2010. Sauf arrangement cette semaine avec la ministre des Sports Roselyne Bachelot-Narquin. Les clubs de foot, de hand, de basket, et de volley sont aussi concernés. Ils vont devoir trouver de nouveaux financements pour équilibrer les comptes.
Le droit à l'image collective vole en éclats.
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