
L'inquiétude est vive chez les salariés de Merlin Gérin Alès (groupe Schneider Electric), dans le Gard. Le 9 février, une centaine de salariés gardois, sur les 309 que compte le site, a manifesté contre le plan d'évolution de l'usine alésienne, initialement présenté en décembre dernier.
Ce plan prévoit, selon les syndicats, la suppression 40.000 heures de travail sur le site, ce qui correspond, selon eux, à la suppression de 26 emplois. Question de sémantique, la direction de Schneider Electric parle, elle, d'un volume représentant 10% des heures...
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